Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Il était aujourd'hui, Didi

23 février 2007

Pas loupé

C'est bien un p'tit mec.

Publicité
22 février 2007

De tout coeur avec eux

Une petite pensée pour une amie en train d'accoucher, depuis mercredi matin que ça dure, et pour son petit paresseux qui se fait désirer.
Elle n'a pas voulu savoir le sexe, mais ça doit être un p'tit mec ça, pour se faire attendre de même...

15 février 2007

Stressée, moi ? Même pas...

Hier une bonne femme m’a grillée la prio. Une conne.

Ce matin un motard m’a honteusement piqué ma place dans une file d’attente à un feu, en m’envoyant en plus sa fumée de pot d’échappement directement dans l’aération de la voiture. Un gros con.

Et ce matin, encore, alors qu’un poids lourd s’essayait à une manœuvre périlleuse en plein milieu de ma route, engendrant un joli début de bouchon, le type derrière moi c’est mis à klaxonner.

Ben oui, connard, ça arrange les choses, continue...

Alors soit les routes sont pleines de cons, soit c’est la route qui fait de nous des cons. Soit on est tous cons, tout simplement. Soit c’est juste moi.

A méditer.

13 février 2007

Occupée

En ce moment, j’écris pleins de choses différentes et ça fait du bien. Rien qui ne trouve sa place ici, des trucs trop « persos » ou trop « pros », ou trop longs, et pas finis, pleins de choses.

Mais je pense toujours à trouver un moment pour ce blog. Je ne le fais pas à chaque fois, mais je le fais quand même. La preuve.

Je ne sais pas trop ce que c’est ici... Un défouloir. Un terrain d’entrainement. Un endroit où je ne suis pas moi, où je me censure parce que j’ai peur d’être mal lue. J’y pense comme à un véritable lieu, un jardin secret où je viens avec simplicité, où je laisse des petits bouts de moi, quelques facettes ridicules, où je suis une autre sans pour autant le rechercher, où je fais des efforts sans en faire, où je fais des fautes d’orthographe, parce que souvent je ne me relis pas, si je relis j’efface tout. Je déteste relire après ce que j’ai écris ici.

Pour le moment j’écris ailleurs, sur un cahier vert qui me suit partout. Vert aussi, parce que c’est ma couleur porte-chance, et que l’écriture, surtout l’écriture personnelle, est quelque chose de si mystérieux pour moi que j’en deviens superstitieuse. Mystérieux et agréable, mais surtout mystérieux. J’ai l’impression de ne rien contrôler… Quand ça vient je ne sais pas pourquoi, je ne sais pas comment, je ne sais pas d’où. Quand ça ne viens pas je me sens comme fripée de l’intérieur, sèche, aride. Mais pour l’instant ça marche bien, et même si c’est ailleurs qu’ici, j’en suis heureuse aussi. Alors touchons du bois.

7 février 2007

Rien à faire des "p'tits plaisirs"

Petite forme en ce moment. Surement la vieillerie, j’ai pris un an de plus dernièrement. (J’ai eu beaucoup de messages, ça m’a fait plaisir de voir que même loin des yeux on ne m’a pas encore trop oubliée !) Le travail c’est calmé, et je recommence à essayer de tuer les heures derrière mon ordi. Vraiment, je déteste ça. J’ai mal au dos. Surement la vieillerie aussi.
En plus il pleut. Et il pleut moche pas beau, gris et crado.

En plus j’arrive pas à écrire. Si j’y arrivais, je pourrais y passer la journée...

...

Vivement ce soir que j’me couche.

Publicité
6 février 2007

Liste des petits plaisirs de la journée

Etre réveillée par les informations du matin. Quelques instants de répit avant le lever dans le froid. Je retiens le principal, j’oublie le superflu. La météo et hop, dans le froid.

Le petit dej’ géant : l’odeur du café, la gelée de groseilles, les céréales, le kiwi. J’ai arrêté les clémentines la semaine dernière, elles me manquent déjà.

Re-odeur de café, à 9h00 avec copine collègue.

L’agenda de ma chef, en réunion à l’extérieur toute la journée. De quoi garder la banane.

Arrivée au boulot avec un gros tas de travail qui attend, de quoi faire passer le reste du temps vitesse grand V, et repartir le soir avec un brave sentiment d’utilité.

11h : Une barre de céréale au chocolat et caramel.

12h : Les ragots avec les collègues.

Entre 13h et 14h, le calme avant la tempête, la Grande Dame n’est pas encore arrivée.

Un mail de mon copain allemand qui écrit comme il parle : avec un accent et avec humour.

« Eh oh eh oh, je rentre du… »

Arrivée à l’appart, Chat qui me hurle dessus pour avoir à bouffer, encore.

Une bonne douche chaude qui lave de tous mes soucis du travail.

Amoureux au téléphone.

Copine Nanne au téléphone. Et tous les autres aussi.

« Friends », pour la 11ème fois.

Tête à tête avec un bon bouquin.

2 février 2007

2 et 7

J'ai piqué l'idée chez Diane Groseille... Il faut raconter sa vie en n'évoquant que les dates commençant par 2 et par 7...

1982 : J’ai trois ans. Juste une date sûre au milieu du flou artistique qu’est la petite enfance : la naissance de mon petit frérot. Mes parents me laissent chez ma cousine quelque temps, et je suis contente, j’adore ma cousine. Quand ils reviennent me chercher, on est quatre.

1987 : Je suis une petite peste avec mes copines. Je veux toujours avoir raison, décider du jeu, j’invente des tas d’histoires. Je cache de vrais chagrins sous les insultes quand elles me laissent tomber pour une plus facile à vivre. Je rêve d’une vraie copine, je rêve d’une sœur, d’une âme-sœur.

1992 : Je redouble ma quatrième. Je trainais un an d’avance depuis la quatrième, je m’en débarrasse enfin : j’étais toujours la plus petite, la plus menue, la plus gamine… J’aborde ma nouvelle classe avec optimisme. J’ai bien raison : j’y trouve enfin mes vraies copines, l’amitié, la complicité, les soirées entre filles, les vedettes de ciné, les vacances chez l’une et l’autre. J’apprends à apprécier les garçons de ma classe, à leur parler, à rire de leur blague. Je donne mon premier baiser. Ca, c’est raté. A la maison, je commence ma crise d’ado.

1997 : Année du bac, année de l’arrivée en fac. Sale période.

2002 : Année chargée. Je tombe amoureuse pour la première fois, en janvier. Il me brise le cœur en mars. Je broie du noir, je déprime, j’ai envie de mourir. Je reporte mon mémoire de Maitrise à la rentrée suivante. Vacances d’été difficiles, mais je me remets, petit à petit, loin de lui et loin de ceux qui me maintenait dans la tristesse. Septembre arrive, je me trouve un nouvel appart, un nouveau boulot pour payer cette année de trop. Je travaille à la bibliothèque universitaire. Je découvre un métier que j’aime, je plonge dans les livres. Je sors tous les soirs. J’abandonne définitivement certaines personnes, j’en découvre d’autre, je revis. Je n’ai jamais eu autant d’amis… ni autant de succès. Je me prends pour Scarlett O’Hara. En novembre, je flashe sur un type complètement fou, irrésistible, extravagant… Mais j’hésite, j’ai peur. En décembre, à la bibliothèque, un autre type me propose de prendre un café avec lui. Il a un sourire qui me plait, un air un peu exotique, il est plus rassurant que le fou. J’accepte. C’est Amoureux.

2007 : Les études sont finies, pas trop tôt. Premier vrai boulot, décevant, j’attends. A côté de ça, les choses restent plutôt belles : Amoureux, amis, projets… J’attends la suite.

1 février 2007

Vous croyez qu'elle plaisante?

Réponse de la Grande Dame quand on lui fait remarquer que la fougère sur bureau est morte:
"Oui, c'est triste... Mais au moins elle aura bien vécu sa vie de fougère..."

1 février 2007

Sac à puces

Chat a des puces depuis 2007. Rapport à une visite chez mes parents et leur chien, et chez mon frère et son furet. Et comme Chat, à force d’insistance, dort avec moi quand Amoureux n’y est pas, moi j’ai des boutons. J’ai pas de puces, je me lave de temps en temps alors ça va. Mais impossible de mettre Chat sous la douche… Alors je lui ai acheté un collier à puce bio, qui sentait bon la citronnelle. Au début. Maintenant, depuis deux semaines que ça me tourne autour, je dis plutôt qui pue la citronnelle, à force. Et qui ne sert à rien du tout, puisque Chat se gratte toujours.

J’ai essayé la poudre. Mais Chat n’aime pas du tout, du tout. Et puis elle a toujours son poil de chaton, cotonneux et épais, une merveille pour les balais et surtout les puces, puisque la poudre ne passe pas au travers. Elle reste en surface : Chat se secoue un peu, y’a comme de la farine qui vole, les puces restent accrochées, bien à l’abri.

Avant-hier alors que je caressais Chat derrière l’oreille, j’ai senti une puce sous mon doigt. J’ai regardé et elle était bien là, entourée de son caca de puce, avant de disparaitre dans le coton. Ca a été le déclic. Malgré le froid et le vent, et oui messieurs mesdames, je suis allée à la pharmacie et j’ai sorti la grosse artillerie à 16€. Ca coute cher le minuscule insecte, mais comme il me semble super résistant, je laisse tomber le bio et je passe à la manière forte. Parce que là, en écrivant, ça me démange et ça m’énerve.

31 janvier 2007

Parce que c'est assez rare pour être remarqué...

Je suis débordée de boulot depuis trois jours!!!

Publicité
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 20 > >>
Il était aujourd'hui, Didi
Publicité
Il était aujourd'hui, Didi
Derniers commentaires
Archives
Publicité